jeudi 25 octobre 2007

STEVE HOWE


STEVE HOWE le guitariste de YES en solo en 2005 accompagné sur cet album par Tony Levin (basse) - Dylan Howe (batterie) - Oliver Wakeman (claviers) - Virgil Howe (claviers). A ne pas manquer.
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dimanche 14 octobre 2007

COVERs



Hello du bâteau ... une petite compilation de quelques superbes "covers" ... quand une chanson est bonne, elle reste bonne ... en voilà la preuve.




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dimanche 7 octobre 2007

FISH - Communion (live acoustic 2006)



"Communion" est le titre du nouvel album live de Fish, un concert acoustique enregistré à Haddington en Ecosse lors de la dernière Convention d'août 2006. Le titre est bien choisi puisqu'il s'agissait d'un concert exceptionnel enregistré dans l'église St Mary d'Haddington, celle-là même où notre Ecossais s'est marié une première fois en juillet 1987, et cette fois c'était sa fille Tara ainsi que sa future femme Heather Findlay qui participaient aux backing vocals.


CD1

1. The Field (Dick, Watson) 8.19
2. Jumpsuit City (Dick, Boult, Cassidy) 5.30
3. Favourite Stranger (Dick, Usher) 5.50
4. Shot the Craw (Dick, Watson, Duguid) 5.28
5. State of Mind (Dick, Simmonds, Lindes) 7.32
6. Tilted Cross (Dick, Jackson, Johnson) 4.22
7. Fortunes of War (Dick, Cassidy, Boult) 6.37
8. Just Good Friends (Dick, Usher, Boult, Simmonds) 6.03
9. Incomplete (Dick, Antwi, Milett) 4.06
10. Change of Heart (Dick, Boult) 3.44
11. Lady Let It Lie (Dick, Paton, Cassidy) 5.55
12. A Gentleman's Excuse Me (Dick, Simmonds) 4.19

CD2
13. Rites of Passage (Dick, Simmonds) 6.00
14. The Lost Plot (Dick, Turrell) 4.53
15. Slainthe Mhath (Dick, Rothery, Mosley, Kelly, Trewavas) 5.13
16. Chelsea Monday (Dick, Rothery, Mosley, Kelly, Trewavas) 6.11
17. Scattering Crows (Dick, Watson, Turrell, Duguid) 5.22
18. Tara (Dick, Paterson) 5.29
19. Raw Meat (Dick, Paterson) 7.01

Musicians:
Fish - lead vocals
Frank Usher - guitar
Andy Trill - guitar
Steve Vantsis - bass
Tony Turrell - keyboards
Gavin Griffiths - drums
Dave Haswell - percussion
Heather Findlay - backing vocals, bodhran, low whistle
Angela Gordon - backing vocals, flute, penny whistle
Anne Marie Helder - backing vocals
Tara Dick - backing vocals

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samedi 6 octobre 2007

STATUS QUO live tournée 2006-2007

Peu de groupes anglais peuvent se vanter d'avoir vendu plus de cent millions de disques et d'avoir placé quarante-trois singles et vingt-cinq albums dans le hit-parade de leur pays entre 1968 et 1991. C'est pourtant la performance réussie par Status Quo, un groupe qui célèbre ses quarante ans d'existence, toujours mené par deux de ses membres historiques : Francis Rossi et Rick Parfitt.
La première fois que j'ai rencontré Status Quo sur une scène, c'était en 1975 du côté de Dijon, et en plus c'était mon premier concert ... (Ma maman m'avait autorisé à balancer mes cheveux histoire de fêter mes 15 ans !) ... la dernière fois c'était à Colmar à la Foire du Vin il y a 2 mois ... (moins de cheveux et plus de rhumatisme, et cette fois avec l'autorisation de mes enfants !) ... Et, bien, croyez moi si vous voulez, j'ai pris le même pied, sinon plus, et je vous assure que pour les rhumatismes, c'est beaucoup mieux qu'une cure à Bourbonne les Bains !
Voici donc ce que donne Status Quo Live en 2007 et sous une apparente et parfois déroutante simplicité, qui masque le résultat de milliers d’heures de boulot et de plus de 35 ans de carrière, Status Quo nous a délivré un show sans faille, terriblement efficace et chargé d’une totale bonne humeur. Du grand Art et la preuve que c’est dans les vieux amplis que l’ont fait les meilleurs sons ! ... Bonne écoute et exploser vous la tronche devant le miroir a grands coups de "air-guitar" ... Ca fait du bien aux neuronnes.

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mardi 2 octobre 2007

YES - Concert Symphonique 2002


Enfin ! Il était étonnant, voire stupéfiant, que Yes, le plus coloré, le plus fourni des groupes de rock progressif, n'ait pas collaboré avant avec un orchestre symphonique. Si on se rappelle des délires solos de Wakeman, on n'arrive pas à comprendre que le groupe n'ait pas osé faire ce bond en avant plus tôt (exception faite de leur second album bien sûr). A leur décharge, il fallait trouver un chef d'orchestre capable de soutenir un édifice sonore déjà extrêmement fourni.

Autant l'avouer tout de suite, le résultat est réussi car la bonne décision a été prise : l'orchestre ne tente pas de rivaliser avec le groupe comme ont pu le faire Metallica ou Scorpions par exemple; ici les cordes et cuivres ne vont pas exploser, mais plutôt déposer une délicate toile de sonorités acoustiques par-dessus le maelström électrique qui constitue le fonds de commerce du groupe depuis aujourd'hui 35 ans. Seuls les breaks de rythme bénéficient de crissements d'archets un peu tendus, le reste sert surtout de nappe de synthé grandiose, et surtout de bon goût (adieu Mellotrons désaccordés et Mini-Moogs où les doigts de Wakeman et Moraz dérapaient un peu trop souvent).

Le problème principal vient de la longueur du concert : une fois de plus, ingurgiter les 2 h 47 de suite risque d'être difficile, en particulier pour le néophyte. Sans compter que Yes a mis les petits plats dans les grands, et nous offre TROIS epics dans leur intégralité : Close to the edge, Ritual - Nous sommes du soleil (pas joué en entier depuis... fiouuu... certains d'entre vous n'étaient pas nés) et tenez-vous bien, The Gates of Delirium (pas joué en entier depuis... euh, toujours ?). A elles trois, ces chansons redynamisées et recolorées totalisent 70 minutes de musique difficile mais purement fascinante, jouant les équilibristes entre folk new age, progressif type école de Canterbury (limite jazz rock) et, ici, c'est la dimension supplémentaire, planant mélodique.


Comme d'habitude, les musiciens sont impeccables. Chris Squire est encore une fois le grand vainqueur, Anderson ne fait pas une seule fausse note, et Steve Howe est obligé de faire profil bas plus souvent que d'habitude. Bon, il a un quart-d'heure à lui pour bien se venger... Quant au claviériste, c'est un petit jeune engagé pour la tournée qui ma foi se défend très bien, son style étant pile entre Wakeman et Koroshev.
Et l'ambiance du concert ? Elle est fantastique sur scène et un peu (beaucoup) moins dans le public. Un public pas mauvais, pas mou, pas néophyte, mais purement fasciné et hypnotisé par ce qu'ils voient et entendent. Sa réaction est très faible, et inexistante pendant les morceaux, comme si les gens avaient peur de rompre l'équilibre en applaudissant. Un véritable recueillement donc, c'est peut-être ce qui explique la digestion assez lourde du concert complet. Heureusement, il y a la surprise de la fin. Une fin dynamique, incroyablement sympathique, et très jolie à regarder (pour seusse qui se dégoterons le DVD). Peut-être un peu trop... Eh oui, ce cher Alan White en oublie sa batterie, et a oublié qu'il était filmé. Pervers Pépère est de retour ! Il n'empêche que rien que pour cette image, un batteur de 55 ans qui reluque les jolies fesses d'un orchestre symphonique féminin de 25 ans, cette rencontre entre classique et prog est (encore une fois) un beau moment d'intensité musicale.
  • Overture (Give Love Each Day)
  • Close To The Edge
  • Long Distance Runaround
  • Don't Go
  • In The Presence Of
  • Gates Of Delirium
  • Steve Howe's Solo Concerto in D Major 2° Movement - Mood For A Day
  • Starship Trooper
  • Magnification
  • And You And I
  • Ritual (Nous Sommes du Soleil)
  • I've Seen All Good People
  • Owner Of A Lonely Heart
  • Roundabout

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